06 octobre 2006

« WASHINGTON JE T’AIME »



- Ce post sera entrecoupé de manière plus ou moins aléatoire de photos de Washington la belle -


Et bien finalement, Wash fait vraiment partie de ces villes ou je pourrais vivre, il y en a peu. Bon je n’y vivrai pas car je veux être en France. Quoique, j’en suis amoureux, c’est une révélation. J’AIME WASH. Si les RH n’étaient pas si ripal (et le manger aussi), je l’envisagerais sérieusement.


On trouve tout ce que l’on veut ici :

Les monuments sont très nombreux et sont très beaux. Il est fort agréable de faire un tour des mémoriaux, en longeant le lac Tibal, une belle promenade. Celle qu’on a refaite avec Marianne et Claire Dimanche dernier pour éliminer les derniers restant du trop plein de alcohol.

Le Roosevelt Memorial

Le chaipuki memorial

Le chien de Roosevelt

Le Koera Memorial

Le Jerfferson Memorial


L’architecture est presque aussi belle que Chicago, simplement c’est moins obvious. Plus je me ballade dans les rues, et plus je remarque ces bâtiments travaillés, peauffinés et simplement et froidement beaux. Mais on trouve tout type de bâtiments ici :


  • Donc la belle froideur des office buildings qui sont remarquablement travaillés

The old Post Office

Des beaux batiments

Le musee de l'holocauste

Une banque pres de la White House




  • Les petites maisons de Georgetown mode anglais américanisé


  • Les coins improbables genre Paris au 17ème siècle lorsqu’on longe le canal de Georgetown

  • Des grands espaces, sortes d’esplanades qui aèrent la ville. Genre le reflection pool (dans Forrest Gump c’est là où il fait son speech avec les hippies contre la guerre au Vietman) mais y’en a d’autres.
Le World War II Memorial

Le Mall vu du Lincoln Memorial


  • Bien sûr le Mall, ce grand espace de verdure ou piéton de 3km sur 1km environ, au cœur de la ville, où l’on trouve la maison blanche, l’obélisque (le Washington monument), le US capitol, plusieurs mémoriaux…
Le Lincoln Memorial

Le Korea Memorial


Le Vietnam Memorial

Le Mall vu du US Capitol

Le Roosevelt Memorial


  • Des quartiers remplis de bars, tuper animés à la tombée de la nuit.

  • Le style ricain dégueu quand même dans plusieurs endroits, genre où on loge. Une rue dégueu avec des magasins dégueu.

A noter que l’urbanisme est très contrôlé ici, puisque les buildings ne peuvent entre pas dépasser une certaine hauteur, de l’ordre de 80 mètres je crois, en fait la hauteur du toit du US Capitol. Et oui, il n’y a pas de gratte-ciel à Washington DC, c’est peut-être pour ça que cette ville est si unique.

Cette ville me plait


Pour comprendre l’essence de Wash, il faut saisir 2 choses. Wash c’est :
1 Une ville très culturelle
2 Une ville très administrative/politique/gouvernementale


1° La très grande majorité des musées sont gratuits, et c’est pas comme des musées gratuits en France… Ce sont des musées de classe internationale genre le musée de l’air et de l’espace c’est l’un des plus visité au monde si je n’m’abuse, et c’est vrai qu’il envoie du pâté. De même pour la National Gallery of Arts ou les 20 autres encore de « classe mondiale ». Y’en a un payant mais qui à l’air sur-bon, c’est le Spy Museum => To Do List des trucs à faire le dimanche pluvieux (mais il ne pleut plus depuis longtemps là). Pour la petit histoire en gros y’a eu un mec riche y’a 200 ans qui a dit « ma fortune ira dans le culturel à Wash, créez une sorte d’institut qui promouvra l’art à Wash », et le Smithonian Institute est né (qui possède tous les musées gratuits regroupés autour du mall).

Mais le culturel ce n’est pas seulement les musées, parce des beaux musées y’en a aussi à Houston par exemple, ici Wash respire la culture à travers tous les évènements autour de l’art. Il y a vraiment pas mal de salles de pestacles, je pense que j’en ferai pas mal d’ici la fin (héhé). Marianne travaille par exemple au Warner Center, oui dans un placard, mais un placard du Warner Center ! Évidement le Kennedy Center et son opéra, ses représentations gratuites tous les jours à 18h, etc.

Cette ville me plait


Le Smithonian Institute

Le Warner Theatre, ou travaillent Marianne et Ana

Une des nombreuses patisseries "francaises"



2° Bien évidemment au delà des entreprises artistiques… Les ONG, organisations gouvernementales, assoces improbables et surtout Sénat/Parlement. Pour évoquer les institutions gouvernementales, les Washingtoniens parlent de « the hill », ou « the Capitol hill », c’est une métonymie mon cher (enfin j’espère). Bref, et c’est très très prégnant en fait. Je lis quand même pas mal de CV dans la journée et les gens travaillent tous dans des trucs assez mythiques du genre « Epilepsy fondation », « Latinos women’s right », « Assoce de déportation des scarabés dans les fonds de cale des bateaux », etc. On trouve vraiment de tout. Et c’est marrant de voir comment tout est très bien classé quand tu cherches un taf ou quand tu fais du recrutement par type d’entreprise : governmental, non profit, profit, journalism, etc.

En ça aussi Wash est très différente des autres villes, beaucoup de gens travaillent pour du « non-profit », je n’ai pas l’impression de voir ces ‘ricains assoiffés de chair fraîche que l’on peut voir dans les film. Par contre on en voit des assoiffés de pouvoir, ça pas de problème, juste se balader sur the hill ! Du coup les gens sortent tôt aussi du boulot, car c’est pas trop stressant quand même et ils prennent plus le temps je trouve.

Cette ville me plait


The White House

The US Capitol

The FBI

Je sais plus


Le métro coûte cher mais il marche plutôt bien (il n’est cependant pas aussi fréquent que dans notre capital). A noter que j’ai remarqué dans le commuter ricain une différence avec son homologue parisien. Le parisien se croit permis de bousculer les autres, de rentrer sans laisser sortir les passagers juste parce qu’il est soit pressé, soit impoli. Ici je dirai que les gens sont globalement aussi excités aux heures de pointe (ou légèrement moins), mais ces gens te bousculent pour un autre raison… : ils sont dans leur droit… Ils ont payé le métro, alors ils ont le droit d’avoir une place assise. Toute une nuance en fait.


Oh et puis petit clin d’œil à certains ami(e)s ayant fait le choix d’aller dans le froid du Nord, ici on s’tape encore des petits 25°C dans la journée, sans forcer même. C’est une ville dans laquelle il fait bon vivre, dans laquelle les gens semblent plutôt heureux et normaux (par rapport au Texas), dans laquelle on peut marcher, beaucoup même, s’allonger, regarder, entendre, rencontrer. Une ville d’histoire (bon OK 250 ans mais c’est le berceau), une ville que c’est bien qu’il faut y aller !


Toujours le chiens de Roosevelt

La porte de Chinatown

Pres du Vietnam Memorial

Ecureuil Power

Au revoir les francaises


Enjoy

Pierre.com






05 octobre 2006

LEXICON 1

Amis lecteur,

Les jours se suivent et mon carnet de vocabulaire grandit a vu d'oeil. Si la maîtresse de France nous a envoyé ici, c'est aussi pour parfaire notre anglais comme ça quand on rentre, on pourra dire plein de choses qu'on savait pas avant. La langue de Shakespeare est décidemment très imagée et je ne cesse de rire à certaines expressions zidiomatiques. Voici donc un petit aperçu des progrès notable que nous faisons :

- Wet campus/dry campus : Campus où l'alcool est autorisé/interdit.

- Bum fucked Egypt : Le trou du cul du monde

- Skank/Slut/Whore : une salope

- Trailer park white trash girl : La traduction est vraiment très compliquée. On n'a pas l'équivalent mais en gros c'est une marie-couche-toi-là en plus trash. Le white trash ici c'est le truc à pas être, ce sont les classes ouvrières blanches qui boivent de la bière et vivent dans des mobil homes. Une fois encore, merci GoogleImage pour mettre des images sur les mots.

- A hickey : un suçon. Trèèèèès white trash.
ATTENTION, à ne pas confondre avec a hick : un plouc (très péjoratif)

- You're not the sharpest tool in the shed / You're not the brightest bulb in the box : Il a pas inventé l'eau chaude, le fil a couper le beurre...

- The twilight zone : la 4ème dimension

- Nothing to write home about : Pas de quoi en faire un plat. (jlaime beaucoup celle-là)

- To put something in someone's pipe and smoke it : Pas facile à traduire. Ca se dit quand on cloue le bec de quelqu'un.

- Thug/Hoodlum/Homie : une racaille

- Just like catching rain with a bucket : galérer comme jamais pour faire qqchose. (pareil, j'aime beaucoup)

- To take something out of one's ass : Sortir qqchose de nul part. ex : un paper est à rendre. Je l'écrit à la récré à l'arrache. I took the paper out of my ass.

- To cook someone's goose : savoir que son heure a sonné

- To burn bridges : brûler les étapes

- Fudgepacker / butt dart champion : trop vulgaire. google fera office de traducteur.


Regards,
Marc

OPERA TRIP 3 : BLUEBEARD’S CASTLE & GIANNI SCHICCHI

4ème RDV (mais 3ème post) pour ma petite ballade dans la haute culture Washingtonienne. Encore une fois pas déçue du voyage. J’aime Wash, sa ville, ses gens, ses choses. La vite esta bella.

TOPO :

http://www.dc-opera.org/ourseason/bluebeardschicchi.asp

Mardi soir
Protagonistes : La plus belle des allemandes, Arianna (mais pas de Naxos) et toujours bibi.

2 opéras d’une heure chacun environ => un trèèèès triste et intense et l’autre trèèèèès comique et qui dépote. Tous les 2 écrits en 1918.

Nos places :

(pas de premium orchestra cette fois-ci, juste du prime orchestra, quelle déception !)



LES HISTOIRES :



Bluebeard’s Castle

Bah, c’est l’histoire de Barbe bleu quoi, mais quand même pas mal retouchée. Le vrai héro de cette opéra, c’est le château. Il est a centre de tout. En arrivant Judith voit 7 portes fermées et veut absolument les ouvrir. Barbe bleu cède et une à une les portes s’ouvrent et il se trouve toujours un truc assez glauque derrière chaque porte, genre une salle de torture, ou un magnifique jardin mais maculé de sang. Barbe bleu refuse d’ouvrir la dernière mais Judith comprend son funèbre destin. Il l’a tue.

La mise en scène de cet opéra a été faite par William Friedkin, qui a entre autre tourné « L’exorciste » et « French connection » mais qui depuis une dizaine d’années s’occupe pas mal d’opéra. La mise en scène était donc magnifique, ça change vraiment tout. Les 15 1ères minutes sont folles en termes « d’effets spéciaux ». Sérieux ils ont descendu des sortes de screen door, qui permettait de projeter des magnifiques jeux de lumières. Et de manière générale les ambiances crées par les couleurs des lumières ont fait de cette opéra une réussite.

Aussi c’était chanté en hongrois. C’est bizarre le hongrois, mais la dureté de la langue se prêtait à l’histoire.


Gianni Schicchi

Seule pièce comique de Puccini, mais alors hilarante, dans la pure tradition de la comedia dell’arte

Encore mise en scène très réussie, mais c’était plus simple, beaucoup d’acteurs sur scène, ce qui rendait la chose attrayante et vivante.

C’est l’histoire d’une famille qui cherche à réécrire le testament d’un riche défunt juste après sa mort pour le tourner entièrement en leur faveur. Une tierce personne prend donc la place du mourant déjà mort et la famille appellent donc le notaire pour réécrire le testament. Voilà c’est juste burlesque et sympathique.


***


A noter le fort contraste entre les 2 pièces, heureusement que l’on finit par celle-là.

Chose très marrante, pour le 2ème opéra, il y avait pas mal d’artistes appartenant au « Placido Domingo Young Artist Program ». C'est-à-dire que je les voyais sur scène et je me disais, tiens lui j’vais son contrat en main la semaine dernière, tiens lui il vient de souscrire une assurance et elle elle vient de demander une réduc pour le métro, etc. bien golri.

Bon et avec tout ce luxe, mi je deviens un vrai fan d’opéra, attention fan en dilettante, je regarde, j’apprécie, j’applaudie et voilà. Mais l’opéra c’est l’frisson assuré !

Bon et bonne nouvelle j’apprends aujourd’hui que j’ai 2 nouveaux pestacles pour la semaine à venir… incroyable !


Pierre.com





03 octobre 2006

F****ING GOOD NEWS !!!


Même topo qu’il y a quelques semaines :


...
Hum Hum
...

(silence avant la tempête)


J'ai


mon



STAGE de fin d’étude !!!



TAILLE de content !


C’est donc pour :


Bogoss ! Lors du 1er entretien, genre 5 jours avant le départ pour les US, j’avais rencontré une très (très) charmante demoiselle avec qui le courant était vraiment bien passé. Elle s’est carrément défoncée pour moi, la veille de mon départ je rencontrais un opérationnel. Et voilà.

Les valeurs du groupe telles qu’on peut les trouver sur Internet et telle qu’elles m’ont été décrites collent bien à ce que je suis, ce qui est paramount en RH. Cool. Remarque, je ne sais pas si je vais vraiment m’en rendre compte puisque je ne travaille pas au siège.


Contexte :

Oui on va peut-être commencer par là, je suis en usine à Rambouillet (et moi je sais dire merci à ma chérie quand elle m’apporte des choses…). Usine qui produit les shampoings, après shampoing, hair colors, gel douche, et trucs comme ça sur 2 lignes de production. Un million d’unités par jour, exportées dans le monde entier. C’est une usine Gemy-Maybelline-Garnier mais qui travaille pour d’autres marques aussi, donc division grand public.


Missions :

Le stage va être un peu bof, mais c’est normal et c’est tuper utile pour la suite. Les RH, c’est sur le terrain que ça s’passe, donc au quotidien vais avoir pas mal de petits problèmes en droit social, des petits projets d’améliorations de process, mais surtout beaucoup de mains à serrer le matin, de petits problèmes de « mon voisin il est pas gentil » ou de carte magnétique qui ne marchent pas. Mais c’est tellement valorisable par la suite de passer par l’usine.

Donc concrètement pas mal de com' interne, de la formation pour apprendre à Robert comment ouvrir un mail, et de l’insertion locale (géographique et handicap), et divers sujet en droit et missions diverses au quotidien.


Les + :

  • Je crois que 80% des employés sont syndiqués et que les relations sont tendues… C’est bon ça
  • Un gros projet de changement des lignes de productions. Ça a l’air con mais quand Micheline et Georges travaillent exactement au même poste depuis plus de 20 ans, les faire bouger de 20 mètres et très traumatisant pour eux. Et quand les syndicats s’en mêlent, quel bordel. Je pense que mon esprit cartésien va en prendre un cop, exactement ce que je cherchais.
  • Des produits gratos, je crois que Fructis est mon nouveau partenaire pour les 2 ans à venir
  • L’Oréal en stage de fin d’étude = le meilleur plan pour une intégration
  • Peu de hiérarchie, beaucoup d’autonomie et possibilités de lancer des projets. Esprit PME en fait mais avec la force de frappe de L’Oréal
  • 1400€/mois brut, ça c’est bogoss
  • Le stage Agir, c’est fait. Profitons à 200% de Wash !
  • Des horaires d’usine, j’aime bien : tôt le matin mais pas trop tard le soir, genre 8h – 18h30


Les - :

  • Rambouillet, et encore ça va, j’suis pas trop loin de Paris. Je suis encore en liste pour un stage chez Danone à Volvic, ça ça aurait été le bad. J’hésite à acheter une voiture et vivre du côté de Versailles, ou pas de voiture mais vivre à Rambouillet, hahein pas rigolo.
  • Mission pas la plus folle du monde, mais faut y passer


Content, content, content


PS : je rappelle que la femme la plus belle du monde (après mon ex) :

(Scarlett Johansson)

est ambassadrice de la marque !


Pierre.com






02 octobre 2006

POT POURRI 2

Bonjour à tous,

Beaucoup de nouvelles photos intéressantes ces derniers temps. Voici donc une sélection commentée. Mais en gros Wash c'est de la boulette en barre de 12. Merci les 3300 euros des parents !



Les écureils sont toujours aussi merveilleux, nous leur vouons un culte. Et nous sommes connus pour celà. La maîtresse a même dit qu'on pouvait écrire un article sur eux si on voulait.
Et dire que les ricains les détestent, definitely pas normaux.

L'état de notre porte après 1,5 mois.
Les écureils ont bien leur place.



Le ricain croit qu'en faisant du faux sport en salle, il élimera la crap food qu'il ingurgite.
Et bien non...



Des faux bars français. Il y en a beaucoup.





Une bonne soirée Poker avec Julie contre les allemands Andy et Jonathan. Nous avons gagné, c'est une question d'honneur (comment ça je refais le passé ?). Julie fait très française sur la photo du milieu nan ?



Une bonne soirée craquage aussi.





Le mode français calin, c'est ça. Nous on connait les bonnes choses de la vie



Voilà l'image que je me fais du dimache en début d'aprèm à Wash, on fait semblant de bosser.





Instantanné à la terrible cafet' avec Arianna, la délicate allemande.


Instantanné devant le front desk où Jenny va ... tu vas ou Jenny habillée en femme en vraie ?


Des trucs bizarres dans les rues





Nous arrivons dans la partie "soirées"...

1er record à battre : 9 dans un taxi, peu mieux faire j'en suis sûr. En attendant on a payé $23 pour 20 grosses minutes de tacos... à 9, c'est cool.


Cette soirée mythique se déroulait dans un club magnifique de Wash dénommé le Love Club. Nous y avons célébré l'annif' de Steffie l'allemande. C'était un très bon plan, puisqu'il suffisait d'imprimer un papier sur Internet pour avoir free accès avec free Open Bar de 21h à 23h sur 2 alcools. Le club est très très classe, mais impossible d'y aller en métro car il faudraut ensuite marcher dans le North East de Wash... Pas une bonne idée... Donc tacos pour y aller et revenir, mais pas cher. Parfait.


Et doucement les filles, y'en aura pour tout le monde.



Oui, ça arrive dans les clubs parfois





Bonne annif' Steffie !!!






Des gens, il faut l'avouer, mythiques








Je disais donc une boite qu'elle est très belle, y'avait même une cuisine !







Le soir en semaine, on se fait parfois les petits bars à côté, et on apprend aux ricains les bonnes valeurs française. Le rouge, les bisous, tout ça quoi.




Nous arrivons dans la partie "école et Field Trip"



Des bons speakers, dans de beaux endroits. Ici on est à 2 pas de la maison blanche dans une entreprise de lobbyists. Les locaux avaient l'air fou, et la vue de la conference room où on se trouvait était imprenable La meilleure conf pour moi jusqu'à présent.



Ces locaux sont des bureaux, j'adore...




Donc quand on dit que le système éducatif ricain n'a rien à voir avec le français... en effet... on fait de belles rencontres parmis nos speakers :




Pour ceux qui ne l'auraient pas reconnu, c'est Madeleine Albright. Sympa quand même non ?



Et là c'est la fille qui veut 'dater' Marc... Ah non je veux dire, c'est Peter Bergen, le mec qu'a interviewé Ben Laden.



Bon et puis on a donc été dans le White House, mais impossible d'y amener l'appareil. Cependant vous voyez cette petite flèche rouge là ?

Et bien quand on se tient debout là, c'est bogosse !


Des foufous sous les fenêtres du président


Les journalistes à la maison blanche




et la colonie de vacances pour finir !

A+
Pierre.com